« Psychologie d’aujourd’hui », mentionne le bas de la couverture… Bon, plus tout à fait d’aujourd’hui, mais j’imagine qu’à l’époque, cela devait être « dans le TURFU » (comprenez futur), comme dirait le rappeur Booba.
Ce bouquin jetait un pavé dans la marre en mettant en avant qu’au delà des modèles psychodynamiques, des structures psychiques et des modèles comme celui de Bergeret (qui avait le mérite, bien qu’il ne résiste pas à la clinique, d’être extrêmement didactique et clair), il y avait des facteurs cognitifs, des processus, qui avait un impact direct sur la personnalité.
C’est durant un temps resté dans le domaine de la psychologie différentielle, avec des notions phares comme la dépendance/indépendance à l’égard du champs qui montrent aujourd’hui leurs sous-bassements neuronaux et viennent s’intégrer dans les neurosciences. Bien qu’aujourd’hui de plus en plus en vogue, il y a encore des réfractaires au fait que la personnalité et son étude en fasse partie intégrante…
La personnalité est pourtant l’une des notions les plus passionnantes et les plus complexe, et recueille de ma part une attention toute particulière.